Suant de tous tes pores, hanches agitées de soubresauts, tu te fais partouzer sans trêve ni repos.

- Mais c'est qu'elle en veut encore CETTE CHIENNE !

- TU LA SENS MA GROSSE QUEUE, HEIN PETASSE !!

- C'EST PAS UN VAGIN, C'EST UN GARAGE A BITES !

- A moi de la troncher, maintenant !

- Attends que je jouisse sur ses nichons !

Tu es vraiment traitée comme une vulgaire VIDEUSE DE PINES :

- SAAAAAAAALOPE !! MAIS QUELLE SALOOOOOOPE !

- Je saute LA PUTE pour la 2ème fois : mon gland est tout rouge !

- Mmmm, je jute sur toi MA COCHONNE !!

- SIMONE : 2 QUI LA TIENNENT, 3 QUI LA RAMONENT !!

- T'ES QUE DE VIANDE A BAISER, POUFFIASSE !!!

- OH, JE JOUIS DE LA FOUTRE !!

Profitant d'un moment où l'un de tes mâles vient de se vidanger le poireau dans ta fourette, je te relève, toute chaude de t'être faite truffer la moule à tire-larigot, luisante de suée mêlée de sirop de mecs. Il est grand temps de laisser ta cramouille en jachère... Je te dispose contre la rangée de sièges ; pastèques débordant du dossier, tu t'appuies sur les coudes, zigzagues du popotin de haut en bas, de gauche à droite, sémaphore charnel invitant à t'emmancher le troufignon. D'un glissando énergique je pousse du gland dans ton fion, m'y loge jusqu'à la garde, te dévaste de toute la puissance de mes impacts pour te culotter la raie, me retire et fais un clin d'oeil salace au projectionniste - qui semble plutôt en forme au vu de l'ampleur de son érection. Il se capote en urgence et t'encule avec paillardise.

- Elle en prend plein le cul maintenant, CETTE NYMPHO !

- Mate jusqu'où ils s'enfoncent !!

- Ça, elle a pas peur de se faire défoncer l'anus !

- T'en as donc jamais assez, GROSSE PUTAIN !!

Retrait de mon complice. Je te bourre le derche. Il te dévaste les sphincters. Mon gros noeud te pistonne la lune. Sa trique distend les parois dilatées de ton rectum. Je te composte l'anus... Un type s'est agenouillé sur le siège juste devant toi, s'empare de tes plantureuses mamelles pour les frotter de sa queue. A chaque nouvelle irruption de l'un des deux mandrins qui te ramone le trou du cul les heurts se font plus barbares, incitant le troisième vaurien à se branler encore plus fort sur tes miches. Mon compagnon de sodo commence à éjaculer mais s'extirpe pour finir de vider ses burettes et son condom sur ta face de BLACK PUTAINE. Je reviens te queuter le derche, t'éclate la rosette jusqu'à souiller ton séant de mes giboulées de sperme. Tu peux maintenant prendre tes melons à pleines pognes pour conclure ta branlette espagnole, tapissant de semence tes magnifiques nénés. Mais... le projectionniste fait signe à tous que la séance suivante va débuter. Nous nous rhabillons tous, à regret.

Je te ramène en bagnole pendant que servilement accroupie sur le tapis de sol, miches à l'air, tu m'octroies une pipe bien juteuse. Je rentre ensuite chez moi vitres grandes ouvertes, car l'habitacle est imprégné des fumets de foutre de tous ces mâles qui t'ont baisée et re baisée. Je soupçonne que se soir tu auras un peu de mal à marcher tellement ton fion et ta fourette se sont faits caramboler par huit bites déchaînées !!

Mmmmmmm SIMONE MA SALOPE, je suis sûr que tu apprécies à ta juste valeur ce scénario aussi torride que pervers, Ô REINE DE LA BAISE.

MICHEL, toujours au service de tes sens, de ta libido, de tes désirs de VRAIE femme à faire jouir.

Profitant d'un moment où l'un de tes mâles vient de se vidanger le poireau dans ta fourette, je te relève, toute chaude de t'être faite truffer la moule à tire-larigot, luisante de suée mêlée de sirop de mecs. Il est grand temps de laisser ta cramouille en jachère... Je te dispose contre la rangée de sièges ; pastèques débordant du dossier, tu t'appuies sur les coudes, zigzagues du popotin de haut en bas, de gauche à droite, sémaphore charnel invitant à t'emmancher le troufignon. D'un glissando énergique je pousse du gland dans ton fion, m'y loge jusqu'à la garde, te dévaste de toute la puissance de mes impacts pour te culotter la raie, me retire et fais un clin d'oeil salace au projectionniste - qui semble plutôt en forme au vu de l'ampleur de son érection. Il se capote en urgence et t'encule avec paillardise.

- Elle en prend plein le cul maintenant, CETTE NYMPHO !

- Mate jusqu'où ils s'enfoncent !!

- Ça, elle a pas peur de se faire défoncer l'anus !

- T'en as donc jamais assez, GROSSE PUTAIN !!

Retrait de mon complice. Je te bourre le derche. Il te dévaste les sphincters. Mon gros noeud te pistonne la lune. Sa trique distend les parois dilatées de ton rectum. Je te composte l'anus... Un type s'est agenouillé sur le siège juste devant toi, s'empare de tes plantureuses mamelles pour les frotter de sa queue. A chaque nouvelle irruption de l'un des deux mandrins qui te ramone le trou du cul les heurts se font plus barbares, incitant le troisième vaurien à se branler encore plus fort sur tes miches. Mon compagnon de sodo commence à éjaculer mais s'extirpe pour finir de vider ses burettes et son condom sur ta face de BLACK PUTAINE. Je reviens te queuter le derche, t'éclate la rosette jusqu'à souiller ton séant de mes giboulées de sperme. Tu peux maintenant prendre tes melons à pleines pognes pour conclure ta branlette espagnole, tapissant de semence tes magnifiques nénés. Mais... le projectionniste fait signe à tous que la séance suivante va débuter. Nous nous rhabillons tous, à regret.

Je te ramène en bagnole pendant que servilement accroupie sur le tapis de sol, miches à l'air, tu m'octroies une pipe bien juteuse. Je rentre ensuite chez moi vitres grandes ouvertes, car l'habitacle est imprégné des fumets de foutre de tous ces mâles qui t'ont baisée et re baisée. Je soupçonne que se soir tu auras un peu de mal à marcher tellement ton fion et ta fourette se sont faits caramboler par huit bites déchaînées !!

Mmmmmmm SIMONE MA SALOPE, je suis sûr que tu apprécies à ta juste valeur ce scénario aussi torride que pervers, Ô REINE DE LA BAISE.

MICHEL, toujours au service de tes sens, de ta libido, de tes désirs de VRAIE femme à faire jouir.