gone6

Quatrième journée

La porte s’ouvrit et Anita vit entrer les deux esclaves qu’elle connaissait.

L’une d’elles détacha Anita.

Celle qui l’avait détachée dit : « tu vois nous aussi, nous n’avons pas droit aux plaisirs, nous portons une ceinture de chasteté » elle sourit t’en disant cela et elle ajouta « regarde Frau Brunnhilde nous a donner les clefs des ceintures de chasteté, tu vas nous les enlever ».  Elle tendit à Anita les clefs des ceintures de chasteté.

Anita s’exécuta ne comprenant pas ou voulait en venir Frau Brunnhilde.

L’une des jeunes esclaves plaça Anita devant le fauteuil, l’autre esclave entre temps avait pris place sur le fauteuil les jambes bien calées sur les repose-jambes, elle écartait de ses mains ses grandes lèvres.

« Tu vas me faire reluire le minou et me faire jouir », ordonna la jeune femme.

Une forte odeur s’échappait de sa vulve, elle portait depuis plusieurs jours sa ceinture, Anita avait bien sûr déjà eu des jeux Lesbos avec ses esclaves, elle avait déjà pratiqué des cunnilingus, mais toujours elle avait veillé à ce que telle ce lavait avant, de plus ses esclaves lui rendaient bien, mais désormais plus personne ne lui donnerais du plaisir.

Anita entreprit de lécher la jeune femme, de titiller son clitoris, rapidement elle commença à gémir, cela faisait longtemps qu’elle avait été privée de ça, elle mouilla rapidement.

« Hum, oui c’est bon,  mais bouffe-moi le cul maintenant, écarte bien mes fesses et nettoyée tout »

Anita, sachant qu’elle n’avait pas le choix s’exécuta, et écarta les deux fesses largement, et entrepris de nettoyer la raie des fesses et l’anus, depuis qu’elle était là elle avait déjà sucé des bites qui sortait de son cul, mais là le faire à une esclave était encore plus humiliant.

Durant ce temps l’autre esclave, passa dernière elle.

«  On doit aussi te dilater, et c’est sait à moi que Frau Brunnhilde en a confié la charge »

Immédiatement elle sentit plusieurs doigts sans aucun ménagement pénétrer son vagin.

Peu après elle senti que l’on introduisait un tube métallique, d’un diamètre important mais largement supportable, ce tube fut introduit jusqu’au fond de son utérus, elle poussa un petit cri en le sentent heurter.

« Ah on y est je pense » dit l’esclave qui le lui avait introduit.

Juste  après, Anita entendit un bruit de moteur, et immédiatement le tube commença à s’écarter, il dilatait sur toute la longueur  du tube. L’objet agissait comme une poire d’angoisse, plus le temps passait plus la dilatation était importante.

(A suivre)