gone6

Aristocrates déchus (Tortures)

Olga descendit Mathilda dans la salle de tortures que les trois artisans avaient réaménagées.

La terreur l’emplit.

Elle y découvrit de nombreux objets dignes de l’inquisition, certains avaient l’air très récent d’autres, bien plus anciens, Olga lui expliqua que durant  la rénovation de l’ancienne salle de tortures, ils avaient eu la chance de retrouver certains équipements désormais oubliés de tous.

Katherine apparut, elle regarda Mathilda.

« Comme tu vois j’ai fait de gros frais pour toi,  pour faire de ta progéniture des pervers, des amoraux,  des dépraver et des débauchés parmi les pires que l’on puisse connaitre, je n’ai même pas eu à leur donner un coup de cravache, quant à toi à part les orties tu n’as pas eu de punitions physiques, même si je ne doute pas que les spectacles de tes enfants complètement pervertis on dut être pour toi une torture. »

« Olga, nos amis artisans on fait un très bon travail, tu les remercieras de ma part et leur donneras une prime » rajouta-t-elle avant de se tourner une nouvelle fois vers Mathilde.

« Quand à toi, je vais détruire ton corps petit à petit, tu auras beau supplier quand j’en aurais fini avec toi ton corps ne sera plus qu’une loque et je serais enfin vengé » disant cela Katherine avec dans les yeux comme de la braise, tant sa haine était forte. 

Olga se saisit de Mathilda pour l’allonger sur un banc comportant un carcan. Elle l’allongea sur le ventre et l’y attacha.

Pendant ce temps Katherine prie sur un râtelier, un fouet, ce fouet était fait d’une très fine lanière de cuir. Katherine commença à fouetter méthodiquement sa victime,  en commençant par le haut du dos. À chaque coup la  lanière entamait la peau, chaque coup faisait crier Mathilda un peu plus.

Des dizaines de coups lui furent ainsi administrées, les pires étaient sur l’intérieur des jambes, sans parler de   ceux qui touchaient son intimité. Au 100^ecoup Katherine arrêtait et demanda à Olga de la retourner.

Katherine s’assit confortablement pendant qu’Olga officiait, elle prit son temps buvant un verre de vin importé de France. Après une quinzaine de minutes elle reprit le fouet et recommença, Mathilde fut surprise quelle épargnait ses seins, mais rapidement elle eut autre chose a pensée.

Quand le fouet atteignit la vulve les  cris  devinrent des hurlements, hurlement décuplé quand Olga sur un signe de Katherine place des pinces aux grandes lèvres relier pas un cordon n’a des anneaux sur le côté du banc. Katherine vicieusement entreprit alors a visé soigneusement l’intérieur de la vulve.

Sous le coup de la douleur Mathilda s’évanouit, pour la faire revenir à elle, on lui versa sur l’intérieur  de la vulve dont  les chairs étaient recouvertes comme tout son corps désormais, du vinaigre. Sous le coup de cette horrible brulure, elle revint effectivement à elle.

« Pour ce matin cela suffît, laissons-la récupérer, je veux qu’elle soit conscience des tortures que nous allons lui infliger» déclarât Katherine et elle ajoutât « Tu as aimé Olga, jamais tu avais vu ce genre de chose ! ». « Oh oui j’ai jamais tant mouillé, promettez-moi de me laisser m’occuper d’elle, » Katherine était ravie de la réponse d’Olga et lui promis de la laissez faire toute seule au moins une fois.  

Mathilda avait été abandonnée sur le banc de tortures, elle se demandait jusqu’où les deux femmes iraient, mais savait que rien ne lui serait épargné.

Les deux femmes firent de nouveau leurs apparitions dans la salle de tortures.

« Alors on sait bien reposer, tu vas avoir l’occasion de te reposer encore plus », ricana Katherine.

Olga défit les carcans qui retenaient Mathilda et la souleva. Puis la fit avancer vers un fauteuil irisé de pointes.  Elle la força à s‘assoir. Elle tenta, vainement de résister, Olga l’attachât à cet horrible fauteuil, le plus vicieux était que les bracelets des poignets et des chevilles étaient suffisamment lâches pour quel puisse se soulever et éviter la plus grande partie des pointes. Mais la position était pénible et fatigante petit à petit ses forces lui manquaient, et plus ses forces lui manquaient, plus les pointes lui pénétraient les chairs, plus les pointes pénétraient les chairs plus elle manquait de force. À la fin elle était purement et simplement assise sur le fauteuil diabolique. Des larmes de douleurs coulèrent sur ses joues.

Katherine et Olga partirent, mais avant de partir Olga alluma un brasero dans lequel et planta des fers. Comme était tournée Mathilda, elle ne la vit pas faire.

De retour dans la salle de torture, Olga détacha Mathilda, qui une nouvelle fois c’était évanouie elle était couverte de plaies sanguinolentes. Olga la trainât un meuble ou mise a quatre pattes un carcan maintenait fermement sa tête. Elle jeta de l’eau glacée sur son visage, ce qui provoqua le réveil de Mathilda.

« Comme tu es une esclave, tu vas être marqué du sceau de notre confrérie au front » dit pompeusement Katherine. Olga s’empara du fer en question ce plaça devant Mathilda et y imprima la marque sur le front de cette dernière, une odeur de chairs brulées envahie la pièce.

« Olga m’avait demandé de la laisser te faire subir une torture, elle va le faire maintenant. » Expliqua Katherine.

Olga s’empara d’une pince sur le râtelier, et avec prise des braises dans le brasero.

Elle introduisit la pince au plus profond du vagin de Mathilda, ouvrit la pince et les braises remplirent totalement son vagin « Je veux plus que tu puisses te reproduire un jour, avec ça je suis tranquille » et Olga éclatait d’un rire  diabolique.

« Demain nous finirons de te détruire, je ne veux pas que tu meures, mais que tu n’aies plus rien à voir avec une femme quand j’en aurais fini avec toi » lui expliquât Katherine en l’abandonnant.

Le lendemain  après-midi, les deux tortionnaires furent de retour, Mathilda avait depuis longtemps perdu toutes notions du temps.

« Tu as toujours été fière de tes seins, je vais en faire des mamelles que plus personne ne regardera  sans détourner les yeux » lui annonçait Katherine.

Olga détacha Mathilda pantelante, n’ayant plus la force de protester. Elle lui attaque les mains dans le dos après l’avoir placé au centre de  la salle. Elle mit des anneaux à  se relier à d’énorme pierre faisant plusieurs dizaines de kilos, puis elle passa un nœud coulant autour de chaque sein sans les serrer.

À moment la Katherine approchât « Regarde les beaux soutiens gorges que je t’ai fait faire », Mathilda vit  l’objet avec des pointes sur le pourtour et sur les couvercles, seul l’emplacement des tétons n’en avait pas, car destiné à les laissé passer.

Katherine lui fixa le curieux soutien-gorge les pointes pénétraient que légèrement, puis d’un coup sec elle refermant les couvercles, les tétons eux était encore épargnée ressortant part les trous prévus à cet effet du sang commençant à suinter de cet appareil.

Katherine fit signe a Olga, qui tournât une manivelle relier a un treuil, lentement les cordes ce   tendirent, les nœuds coulants ce resserrent de plus en plus, puis vint le moment ou Mathilda se retrouva suspendue par ceux-ci, le pire fut encore à venir, car Olga n’arrêta pas tant que les pierres ne décolèrent pas du sol.

Ainsi suspendu les seins étaient horriblement étirés vers le haut, de fait le saignement avec arrêter, le manque de sang et la coagulation faisant office de garrot. Les jambes quant à elle subissaient un étirement extrêmement douloureux également.

« Je suis trop bonne, tu vas choisir toi-même : je te coupe la langue, ou les tétons, dans les deux cas je vais te les faire manger, ne tarde pas trop à répondre ou je coupe les deux »  annonces Katherine à Mathilda.

« Au point où en sont mes seins autant en finir, je choisis les tétons, je sais en plus que tu vas préférer ça vu ce que tu as dit de ce que tu voulais faire à ma poitrine » répondit Mathilda.

« Oh, quelle délicate attention, ça me touche, » lui répondit très sérieusement Katherine.

« Bien nous allons laisser la nature faire son œuvre, il faut bien quelques heures pour que tes mamelles ne soient plus qu’une masse flasque en attendant avec Olga nous allons prendre un peu de bon temps» continuât telle

De fait  les deux femmes allèrent sur la bergère qui avait  été descendue dans la salle de torture, et commencèrent sous les yeux de leur victime, à faire l’amour. Mathilda poussait des gémissements continus qui les s’excitait encore plus.

Une fois finis leurs jeux lesbiens, reput de plaisir, recouvert de sueur, elles se relevèrent pour finir leurs horribles tâches. Olga tourna la manivelle dans l’autre sens, pendant ce temps que le râtelier Katherine s’emparât d’une tenaille coupante.

« J’ai dit couper ? J’aurais dû dire arraché » Katherine enleva le soutien-gorge, elle lui prit le téton gauche juste au-delà de l’auréole entre les mâchoires de la tenaille et serrât, celle-ci s’enfoncèrent dans les chairs, Katherine prenait tout son temps elle voulait que Mathilda non seulement souffre encore plus, mais vois son téton être détaché, brutalement Katherine tira un coup sec, et arrachât l’objet de sa haine.

Un hurlement remplis la salle comme jamais, prenant entre ses doigts le bout de chair, elle le tendit a sa victime : « Rappel-toi, notre accord, tu dois les avaler, sinon en plus j’arrache ta langue » disant cela elle tendit vers la bouche de Mathilda ce qui fut un téton. Mathilda ouvrit la bouche sans hésiter, elle savait trop que son ennemi allait sinon mettre à jour sa menace et manga ça propre chair.

Puis ce fut au tour du second téton de subir le même sort. Une fois que tout fut fini, Mathilda se demandait si elle n’allait pas être tuée.

Dire qu’elle fut rassurée par ce que lui dit Katherine serait exagérer.

« Tu vas vivre, je vais même faire venir un médecin de mes amis, pour qu’il te soigne, tu resteras ensuite enfermer dans cette salle »  lui annonça-t-elle,

Puis ajouta » peut-être un jour je te dresserais a d’autres jeux.

FIN… ???