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Aristocrates déchus (2. Humiliations suite)

L’un d’eux  lui mit la main entre les fesses.

« Comment.. ! » s’écriât Selma

« Silence désormais rappel toi tu es une esclave » entendit-elle

Ravalant sa fierté elle ce tu, et les conduisit au boudoir.

Elle frappait et ouvrit la porte disant que les invites de Madame La Marquise étaient arrivées, on lui dit les faire entrer dans la pièce.

« Bonjour Madame la Marquise » dit les hommes de l’art.

« Bonjour Messires asseyez-vous je vous prie, vous prendrez bien quelque chose» répondit Katherine

« Heu oui merci » répondit le charron un peu pris au dépourvu.

En souriant Katherine ajoutait « Rassurez, vous-même si sait l’heure du thé, nous avons d’autres boissons plus fortes »

Elle tira sur le cordon.

Mathilda apparut dans une tenue de soubrette un peu particulière, avec sur le plateau des cordiaux.

« Je vois que vous n’avez pas perdu de temps à dresser vos nouveaux esclaves », dit le menuisier »

« Et je n’en suis qu’au début, d’ailleurs sait un peu pour ça que vous êtes la » leur dis la maitresse de maison.

Mathilda se penchait pour poser les verres sur la table basse, les trois  hommes se régalèrent du spectacle, n’osant pas la toucher.

« Vous pouvez toucher » entendirent-ils

« Reste penchez » dit  l’un d’eux. Ils commencèrent par lui toucher les seins, les malaxèrent, le forgeront caressait son cul.

Voyant que le charron avait une bosse qui commençait à poindre à son entre-jambes, Mathilda entendit Katherine dire que s’il le désirait elle pouvait le sucer.

Sans répondre l’homme défit les boutons de sa braguette, Mathilda sachant que désormais rien ne lui serait épargné, ce mis a genoux devant l’homme, il dégageait une odeur forte, il n’avait pas du ce laver de plusieurs jours, refoulant son dégout elle commença à le prendre en bouche.

« Salope, sert toi de ta langue et prend la jusqu’aux couilles  » s’était Katherine qui venait de crier cet ordre, rapidement le sexe de l’homme grossi, juste avant éjaculer l’homme de sa main il appuya sur la tête de Mathilda pour lui maintenir son sexe au fond de sa gorge et la contraindre a avalé.

Mathilda pleurait elle avait déjà fait des fellations a son mari, mais jamais été  pris un sexe profondément en bouche et encore moins avaler.        

« Laisse nous maintenant nous avons à parler affaires, dis à Olga de nous rejoindre,   et ne t’avise pas d’écouter aux portes » le ton sur lequel Katherine venait de s’exprimé était suffisant dur, pour que la bonne  ne cherche pas à en savoir plus.

Olga arrivât sur ces entrefaites elle entendit Katherine demander :   « Vous pensez que sait réalisables les travaux que je vous demande ? » 

Le charron qui paraissait être le chef d’équipe dit : « la fabrication des objets demander ne nous pose pas de problèmes techniques,  nous devons bien sur les lieux, pour estimer les couts et voir comment on peut les implantés dans l’ancienne cave, humm il ne s’agirait pas de l’ancienne salle de tortures utilisé contre les hérétiques ?  »

« Si, mais comment savez-vous ça » fit Olga.

« Mon arrière-grand-père y fit des aménagements, je dois avoir encore les plans de l’époque quelques parts » expliquât-il.

« Des  plans  de la cave ou de matériels » très intéressez demandât Katherine.

« Si je me souviens bien un peu des deux, mais bien sur surtout du matériel de l’époque, je vous les montrerais la prochaine fois que je viendrais » promit-il.

« Olga emmenez ses messieurs visitez les lieux » à ces mots Olga fit signe aux artisans de la suivre.

Une fois sur place, les artisans, virent que les lieux étaient presque vides quelques tonneaux éparts semblait être les seuls objets, ils prirent de nombreuses mesures, comme il faisait chaud dans cette cave Olga leur apportât un tonnelet d’eau.

Une fois qu’ils eurent fini, ils remontèrent.

« Mademoiselle Olga, je ne voudrais pas abuser de l’hospitalité de Madame la Marquise, mais serait-il possible de me soulager, toute cette boisson, vous comprenez » dis le forgeron.

Si elle comprenait, en fait elle l’espérait.

« Suivez-moi messires, vous allez voir nous avons modernisé nos installations et vous allez être les premiers a les utilisés »  déclarât-elle un grand sourire aux lèvres.

Les hommes la suivirent, en se demandant ce qu’elle avait voulu dire  ils entrèrent dans le lieu d’aisance et comprirent en voyant l’installation.

« Je me demandais où était le rejeton, on avait vu que les femelles, maintenant c’est clair », déclara le forgeron.

« Il ne peut ni voir ni entendre, juste respire et bien sûr boire, je vous laisse ce genre de chose est très intime, vous pouvez vous soulager chacun votre tour bien sûr».

Aymeric n’avait rien vu , rien entendu, mais compris quand il sentit un liquide chaud couler dans sa gorge, qu’une personne était venue ce soulager, la honte l’emplis, quand il pensait que c’était fini, il reçut encore de l’urine, puis une troisième fois, sa vessie grossie, mais il se retient pensant que s’il urinait Olga lui ferait payez cher.

Ce fut le menuisier qui le remarqua : « Mais regarder moi ça il bande comme un âne une vraie lope ».

Et tous s’esclaffèrent avant de quitter les lieux.