Encore une histoire pour toi, Simone, cette fois à la gloire de tes talents de REINE DE LA TURLUTTE. J'imagine que tu te branlottes le con en pensant à moi, MA CHAUDE MAÎTRESSE DU NET, jusqu'à ce que ta chatte devienne écarlate, que tu te lèches les doigts humectés de ta propre mouille après en avoir déposé quelques traînées sur tes seins somptueux.

En l'absence de ton conjoint, tu as dédié cette fin de week-end à la fornication immodérée. Au matin, ton nouvel amant esquisse quelques mouvements d’éveil. L’ébène de ton pubis et ta poitrine hâlée exposés au soleil levant ne dépareraient point dans un magazine réservé aux adultes avertis. Tu ouvres tes mirettes, met au grand écart la charnelle charnière de ton entrecuisse. Son index titille ton clito si obligeamment offert, laisse la place au majeur qui précède l’annulaire, suivi du pouce. Tu te caresses les mamelles, gémissant d’approbation au fur et à mesure que l’exploration taquine de ce rugbyman attentionné joue les prolongations. '' Mmm… TRONCHE LE CON DE TA SIMONE, beau mâle ! '' Tu remontes les jambes afin que l’érection flagrante de ta vulve illustre la teneur de ces vulgaires propos. Il allonge sur toi ses quatre-vingt-dix kilos tout en muscles, plante son épieu d’une prompte poussée des reins. Sa queue infatigable te gave la chatte en interminables assauts, ressort, replonge à l’infini et au-delà. Tu te laisses aller à l’ample jeu de coulisse de ce vit habillé de condom, dont tu as usé, abusé toute la nuit. A l’orée de l’orgasme il ralentit la rudesse de l’action de sa verge. Un sincère '' Jouis, Simone ! '' ponctue l’éjaculation. Tu l’embrasses tandis qu’il flatte tel un animal domestique ta croupe de BAISEUSE - provisoirement - assouvie. Il part bosser. A inscrire en majuscules à ton carnet d’adresses, pourtant pléthorique au chapitre galipettes.

Tu bigophones à ton boulot, rappelant que tu embauches tardivement. Tu te maquilles, sans te laver : il convient d’exhaler le fumet de tes copulations nocturnes. Tu passes une jupe ras le bonbon, un débardeur éthéré mais t’exonères de sous-vêtements. Ce pour la bonne bouche, qui, chez toi, est une expression à prendre au pied de la lettre. A neuf heures quinze le plombier, un trapu à la face burinée que tu avais repéré trônant dans son échoppe, découvre NOTRE CI-DEVANT SALOPE, pieds nus.

Tu l’allumes en batifolant autour de lui à la recherche de futiles objets alors qu’il répare l’évier. A l’avant de son futal une bosse révélatrice confesse que ton manège porte ses fruits. Son intervention menée à bien tu lui offres un café d’un air mutin. Un improbable et providentiel hasard fait choir ta cuillère qu’il s’empresse de récupérer. Le pourpre de ses joues certifie qu’il a contemplé sous la table une affriolante moule exhibée par ton entrejambe ouverte à tous… gabarits. Tu portes l’estocade '' J’ai des problèmes de fin de mois, pourriez-vous m’arranger cela ? - Que proposez-vous ? - J'AI TRES ENVIE DE TE TAILLER UNE BONNE PIPE… si la transaction te convient. '' Globes moulés par le fin tissu, roulant des hanches, tu approches de sa chaise.

Il dénude fébrilement ta plastique mâture pendant que tu t'attelles au déboutonnage de sa chemise. Tes mamelons durcis vagabondent le long du torse velu, vibrent aux pulsations de son coeur qui bat la chamade. Tu déboutonnes la braguette, humes à pleines narines les effluves corsés d’une trique digne de ce nom. Un alexandrin de son cru te galvanise '' SALE PUTAIN pompe-moi ce braquos, que j’en ai pour mon fric. '' Tu lèches à moult reprises un sauciflard tel que tu aimes t’en délecter - aussi dur que le bois, violacé de convoitise, strié d’énormes veines saillantes, fleurant le fauve. Tu décalottes le gland bouffi, l’engouffres dans ta gorge profonde, fignolant à l’étouffée la turlutte promise, ses balloches posées sur le calice païen que dessinent tes doigts. Les paumes calleuses du client d’occasion t’égratignent les miches. Tu savoures son regard bouleversé par l’extase - seules les authentiques FUMELLES raffolent de l’extraordinaire pouvoir de gouverner la jouissance masculine en dégustant de bons gros noeuds à l’affût de cette faveur. Ton palais gourmand submergé par les flux de son sperme, l’étau de ses pognes t’emprisonne la nuque, il s’essuie la bite contre ton minois. '' Tu oublies la T.V.A. ! ! ''

Dès lors que tu leur octroies une plume de derrière les fagots, les julots se croient toujours autorisés à te pousser à la récidive. Peut-on toutefois jouer la PUTE EN RUT et quémander des égards de fleur bleue ? Tes dociles babines convertissent donc la souple guimauve en un raide sucre d’orge, soumises de plein gré au rythme effréné de ses exigences. Confondant pine et tuyau d’arrosage, ce ruffian t’asperge la frimousse de sa purée. Ta langue perfectionniste parachève la toilette. Il salue d’un clin d'oeil le déploiement de ta nudité reprenant la station bipède. Son jus visqueux perle goutte à goutte sur les courbes harmonieuses de tes seins. Il te met la main au panier, bifurque vers la foufoune. Son sans-gêne plein de santé t’envahit les tréfonds du berlingot '' Les BONS COUPS COMME TOI sont rares de nos jours. Si un de ces jours tu sens une envie pressante de te faire tringler… ''

Inutile de sortir de Polytechnique pour comprendre que LE POGNON N'ETAIT QUE PRETEXTE A T'ENVOYER, UNE FOIS ENCORE, UNE SUCETTE POUR ASSOUVIR TES INSTINCTS D'INCORRIGIBLE SALOPE. PARFUM : SIROP AU FOUTRE ! Après t’être branlée sous la douche, tu te remaquilles, enfiles des vêtements décents et vaques - enfin - au bureau. Un excellent début de semaine, placé sous les auspices d'Aphrodite !!!