Lundi 6 octobre 1 06 /10 /Oct 14:11

Voilà enfin LE scénario de l'un de tes fantasmes, pour toi, MA SIMONE :

Tu es chez toi, tranquille, un samedi après-midi. Ton mari est parti jouer aux cartes avec des amis, Sébastien le fiston flirte (ou plus vraisemblablement s'envoie en l'air...) chez sa petite amie. Tu fais un peu de ménage et pour être plus à l'aise, tu portes juste un peignoir en soie vert pastel, assez court. On sonne à la porte : quatre copains de ton fils te demandent s'il est là pour lui proposer une partie de bowling. Tu réponds par la négative mais remarque que le plus grand lorgne en douce ton décolleté entrouvert ce qui t'incite à le rajuster. Il sourit timidement et invoque la chaleur pour solliciter - très poliment d'ailleurs - que tu leur offres quelques rafraîchissements avant qu'ils ne repartent. Tu acquiesces en haussant les épaules, leur proposant des jus de fruits. Vous vous installez à la cuisine, échangeant des banalités. Tu te sens un peu gênée car tu remarques que tous fixent avec de plus en plus d'insistance tes formes charnues tendant la fine étoffe.... mais tu es également plus qu'émoustillée par ces flots de désirs qui irisent leurs prunelles et irriguent leurs verges à gonfler les jeans.

Un incident fait tout basculer : troublée par l'ambiance, tu renverses un filet de jus de cerise sur le pantalon du rouquin de la bande. Tu humidifies deux feuilles de sopalin, les lui tends. Il t'attrape la main et la pose, sans la moindre gêne sur la bosse qui soulève sa braguette ; en même temps tu sens qu'on te pelote le cul ! Tu sursautes, l'air effaré :

- Ça va pas les gars !!

- Allez Madame, c'était pas méchant.

- Vous êtes malades, vous n'avez qu'à vous payer ensemble une prostituée !!

- Les putes c'est pas gratos, par contre, les SALOPES...

Tu recules vers l'évier. Les quatre mecs t'encerclent. Un barbu lève la voix :

- Allez, vous devriez être flattée de plaire à des jeunes hommes.

Ta voix s'étrangle :

- Mais qu'est ce qui vous prend ?

Le barbu sourit avec ironie, utilisant le tutoiement pour te déstabiliser :

- Ton charmant bambin nous a dit... comment déjà ? Ah oui : '' MA MERE EST UNE GROSSE SALOPE A LA CHATTE TOUJOURS EN FEU ''. Et c'est LUI qui m'a téléphoné que t'étais seule à la maison cet aprem.

Vif comme l'éclair, il défait ta ceinture et jette ta vêture au sol, livrant en pâture ta nudité dans toute sa crudité. Furieuse de ce culot, tu tentes de récupérer le peignoir mais ils bloquent tes poignets.

- Allez, SIMONE la CHAUDASSE, il vaudra mieux pour toi te laisser faire. De toute façon, on a décidé de te BAISER !

Tu te cabres, le rouquin choppe ta chagatte.

- Arrête ton cinéma, GRASSE PUTE : tu jutes déjà, mes doigts s'enfoncent comme dans du beurre.

Effectivement, la tension de cette situation, la dureté de leur désir te font mouiller comme une fontaine. Il a planté deux doigts en toi, bien profond, malgré toi tu t'arques de plaisir. Le quatrième, un beur, pelote tes miches :

- Tes mamelons sont tout durs, un bon petit gang-bang te fera jouir. Tu devrais même remercier nos jeunes queues de bien vouloir s'occuper de toi, PUTASSE !

Ils sont déterminés, prêts à tout pour arriver à leurs fins, ou plutôt à leur faim de sexe. Ils relâchent tes bras, tu y aperçois des marques rouges tellement ils t'ont serrée fort. Le rouquin prend la parole :

- Je vois que t'es devenue plus coopérative. T'inquiètes, on a plein de capotes.

- J'ai pas le choix, vous êtes quatre contre une femme sans défense.

- Couche toi sur la table, jambes bien écartées, qu'on te fasse la fête, GROSSE PUTAIN !

- Sois poli, au moins !!

Il te soufflette, pas trop fort, mais tu as compris que ces jeunes mâles seront tes maîtres absolus – ce qui n'est pas pour te déplaire, loin de là. Tu t'allonges sur le bois. Les ceintures coulissent, les pantalons chutent au sol formant quatre tas épars... Le barbu se coiffe le vit de latex et te pénètre d'un magistral coup de gaule :

- Aïe ! Fais attention !

Il te harponne avec encore plus de vigueur :

- On a dit qu'on te baisera, pas qu'on comptait fleurette.

Sa queue t'impacte encore :

- C'est vrai qu'elle a le con en feu, je ripe comme dans de l'huile !!

- Après elle prétendra qu’elle n’aime pas se faire violer, commente un autre.

Tu essayes de rétorquer, mais le beur te tourne la nuque, engouffre une bite épaisse dans le bec. Un autre s'astique le poireau, ayant pris position près de ton nichon droit. Celui qui te nique avec toute sa vigueur te bloque pour que tu puisse piper son acolyte. Cramouille taraudée, gosier gavé tu te sens pleinement objet du déchaînement agressif de leurs libidos, au-delà de tes fantasmes les plus intimes, et cela provoque en toi une jouissance puissance X. Tu grognes, gémis, râles, couines comme une TRUIE EN RUT. Le dard qui te violente le clapier à pines fuse, tu sens les jets cogner ton vagin à travers le latex. Le pipé accélère ses coups de reins, te baisant la gueule à t'étouffer jusqu'à y dégorger son sperme. Le larron qui était resté contemplatif plante illico son mandrin dans ta vulve toute chaude de ta première (et pas la dernière, loin de là) saillie. Sa queue te laboure la touffe, y clapote de mouille. Celui qui se branlait éjacule sur tes magnifiques mamelles. Le baiseur en rut fait glisser ton corps sur la table à chaque heurt de gaule, t'impacte la fourette, ralentissant, accélérant.

- T'AIMES LA BITE, PETASSE !

- Oui...

- DIS LE !

- J'aime le sexe.

- PLUS FORT, GROSSE COCHONNE !

- J'AIME LE SEXE, LA BAISE, ME FAIRE METTRE !

- T'ES QU'UNE CHIENNE !

- OUI, UNE CHIENNASSE A PARTOUZER !

- UNE SALOPE A FOUTRE !

- OUI : TA SALOPE DE CHIENNASSE !!

Chacune de vos interjections est ponctuée par une injection brutale de vit dans ton paf béant, dilaté, perlant de jus de FUMELLE.

- QUELLE SALOPE DE PUTE !

- OUI ! OUI ! OUUUUUUIII ! VIOLEZ-MOI TOUS LES QUATRE !

- GROSSE COCHONNE !! T'ES QU'UN BAC A FOUTRE !!!

Foin de tendresse, de la BAISE sans relâche, à l'état pur, à l'état cru !! Ton corps est ballotté en tous sens, le plaisir dans toute son intensité bestiale irrigue ton bas-ventre. Il jouit dans un cri. Tu seras à nouveau tronchée - sans pause - par deux autres mandrins effrénés, devenue un simple CON esclave de ces bitasses qui te tringlent.

Ils décident alors d'explorer d'autres facettes de tes talents de BAISEUSE EN CHALEUR. Sans ménagement, avec toute la brusquerie de la jeunesse, ils te descendent de table, t'agenouillent sur le carrelage dur et froid. Les biroutes du barbu et du plus grand gigotent sous tes naseaux :

- Prends ces deux queues dans le gosier, ensemble !
                                                                                                                                                        ( A suivre)

Par Maitre Gone6 - Publié dans : Bienvenue - Communauté : blog sexe des amis
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Derniers Commentaires

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Images Aléatoires

  • horizon-006.jpg
  • horizon-008.jpg

Sites Pro et Moteurs

La Boite au Fantasme
( chat et Webcam )
http://www.laboiteauxfantasmes.com/

Le Marché aux escalves
( petites annonces )
http://www.slavemarket.ch/

Site d'Hentai
( Dessins Japonais )
http://www.hentaitraders.com/

Sensation-SM
(annonces et dial privé, pas de chat )
http://www.sensationsm.com/

Trinity Book, superbe site avec des clips a voir absolument http://www.trinity.book.fr/

Un site avec pleins de viédos BDSM gratos
http://www.gexo.com/33072

 

 http://gone6.over-blog.com/google1a1376067d831eb5.html

Syndication

  • Flux RSS des articles
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés